Souvenez-vous, Vierge Marie, O Mère pleine de bonté, Qu’on n’a jamais entendu dire Qu’en vain sur vous l’on ait compté. Jamais aucune confiance N’a demandé votre faveur Sans recevoir votre […]
Souvenez-vous, Vierge Marie, O Mère pleine de bonté, Qu’on n’a jamais entendu dire Qu’en vain sur vous l’on ait compté. Jamais aucune confiance N’a demandé votre faveur Sans recevoir votre […]
Sainte Marie, Mère de Dieu, Gardez-moi un cœur d’enfant, pur et transparent comme une source. Obtenez-moi un cœur simple, qui ne savoure pas les tristesses, un cœur fidèle et généreux […]
Vierge Sainte, Au milieu de vos jours glorieux, n’oubliez pas les tristesses de la terre. Jetez un regard de bonté sur ceux qui sont dans la souffrance, qui luttent contre […]
Ô Mère de Miséricorde, Soyez le secours, le soutien de tous les pauvres affligés, la consolation de ceux qui pleurent, le remède des malades, je Vous en supplie, ô Marie. […]
Une neuvaine est une prière offerte à une intention particulière, répétée neuf jours de suite. Prière en laquelle nous demandons l’intercession d’un Saint, de la Bienheureuse Vierge Marie, ou adressée directement à Dieu, qui répond aux appels du Christ Jésus : “Demandez, et l’on vous donnera… frappez, et l’on vous ouvrira…” (Mat. 7,7 – Luc 11,9) ; “Tout ce que vous demanderez avec foi par la prière, vous le recevrez” (Mat. 21,22) ; “Tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai” (Jean 14,13) ; “Ce que vous demanderez au Père, il vous le donnera en mon nom” (Jean 16,23). Les témoignages abondent en toute l’histoire de l’Eglise, qui montrent que Dieu se laisse toucher par cette forme de prière.
« Ô Vierge Immaculée, qui obtenez de Dieu tout ce que vous voulez »,
En cette année sacerdotale voulue par notre pape Benoît XVI,
Nous vous supplions de demander à votre divin Fils pour Son Eglise
Des prêtres qui soient saints.
Notre Dame de Guadalupe « Patronne des enfants à naître » Notre Dame de Guadalupe, patronne des enfants à naître, je vous supplie de bénir Virginie, cette future maman malade du […]
Souvenez-vous, Vierge de la Salette,
Des larmes que vous avez versées
Pour nous sur le Calvaire,
Souvenez-vous aussi de la peine
Que sans cesse vous prenez pour votre peuple
Afin qu’au nom du Christ
Il se laisse réconcilier avec Dieu.
Et voyez si, après avoir tant fait pour vos enfants,
Vous pouvez maintenant les abandonner !
Réconfortés par votre tendresse, Mère,
Nous voici suppliants, malgré
Nos infidélités et nos ingratitudes.