Souvenez-vous, Vierge de la Salette,
Des larmes que vous avez versées
Pour nous sur le Calvaire,
Souvenez-vous aussi de la peine
Que sans cesse vous prenez pour votre peuple
Afin qu’au nom du Christ
Il se laisse réconcilier avec Dieu.
Et voyez si, après avoir tant fait pour vos enfants,
Vous pouvez maintenant les abandonner !
Réconfortés par votre tendresse, Mère,
Nous voici suppliants, malgré
Nos infidélités et nos ingratitudes.