La communion fait à l’âme comme un coup de soufflet à un feu qui commence à s’éteindre, mais où il y a encore beaucoup des braises : on souffle et le foyer se rallume. Au moment de communier, dites à Jésus : « Jésus, je viens à Vous, parce que je suis faible, parce que je suis misérable, parce que je suis pêcheur. Je viens à Vous parce que j’ai tellement besoin de Vous ! » Quelle belle préparation à la communion !
C’est encore un apanage des faibles et des misérables de pouvoir faire, avec encore plus de ferveur, cette prière : « J’ai besoin de Vous, et je suis heureux d’avoir tellement besoin de Votre miséricorde ». Une prière qui va comme une flèche au fond, jusqu’au fond de Son cœur infiniment miséricordieux.
(Croire à l’amour)